Dans cet article, nous allons explorer comment l’apprentissage des langues peut stimuler le développement cérébral chez les enfants.
Amélioration de la fonction cognitive
Les recherches indiquent que les enfants qui apprennent une seconde langue bénéficient d’une amélioration significative de la fonction cognitive. Cela inclut une meilleure attention sélective, une capacité accrue à basculer entre différentes tâches (flexibilité cognitive) et une mémoire de travail améliorée [1]. Chez KOKORO lingua, nous incorporons diverses activités qui stimulent ces capacités cognitives tout en rendant l’apprentissage amusant et engageant.
Augmentation de la densité de la matière grise
Certaines études ont montré que l’apprentissage d’une seconde langue peut augmenter la densité de la matière grise dans certaines régions du cerveau liées au langage et à la cognition [2]. La matière grise est responsable du traitement de l’information dans le cerveau, donc une densité accrue peut améliorer les capacités cognitives globales.
Retardement de l'apparition de maladies neurodégénératives
Des études longitudinales ont suggéré que l’apprentissage d’une seconde langue peut aider à retarder l’apparition de maladies neurodégénératives, comme la démence et la maladie d’Alzheimer, plus tard dans la vie [3]. Cela pourrait être dû au fait que le bilinguisme maintient le cerveau actif et flexible, ce qui pourrait contribuer à une « réserve cognitive » qui protège contre le déclin cognitif lié à l’âge.
Conclusion
Il est clair que l’apprentissage des langues a un impact positif considérable sur le développement cérébral des enfants. En offrant une méthode d’apprentissage des langues adaptée aux enfants, KOKORO lingua favorise non seulement l’acquisition de nouvelles compétences linguistiques, mais contribue également à la croissance et au développement globaux de l’enfant. Alors, pourquoi ne pas donner à votre enfant le cadeau de l’apprentissage des langues et observer comment il stimule son développement cérébral?
Références
[1] Bialystok, E., & Craik, F. I. (2010). Cognitive and Linguistic Processing in the Bilingual Mind. Current Directions in Psychological Science, 19(1), 19–23.
[2] Mechelli, A., Crinion, J. T., Noppeney, U., O’Doherty, J., Ashburner, J., Frackowiak, R. S., & Price, C. J. (2004). Neurolinguistics: Structural plasticity in the bilingual brain. Nature, 431(7010), 757.
[3] Alladi, S., Bak, T. H., Duggirala, V., Surampudi, B., Shailaja, M., Shukla, A